I filosofi e il rapporto con cibo e appetito

I FILOSOFI  E IL RAPPORTO CON CIBO E APPETITO

PERCHE' I FILOSOFI HANNO SEMPRE DISDEGNATO

DI OCCUPARSI DI CIBO E APPETITO?

Richard Watson, professore all'Università di Washington, nel 1985 pubblicò un libro che combinava consigli dietologi con riflessioni sulle grandi domande della vita. Tale combinazione non era poi così incredibile come sembrava. La stessa parola "dieta" deriva da un temine greco che significa "modo di vita". Dal momento che un opportuno modo di vita implica una buona nutrizione, la parola assunse presto connotazioni associate al cibo. Watson chiamò questo libro "La dieta del filosofo". Per i filosofi, il cibo e le pratiche legate al cibo, erano estranee.

SCHOPENHAUER:

L'estetica fu un'area a cui Schopenhauer diede contributi importanti e duraturi. Quando parlò delle nature morte, non poté evitare commenti sprezzanti circa la connessione tra l'alimentazione e l'appetito. "Le nature morte sono belle" dichiarò, "solo se non contengono cibo". Grappoli d'uva ancora innestati sulla vite possono andar bene. Li si può ammirare per la loro bellezza.

Ma dipinti come cibo, stimolano l'appetito, che ci fa prigionieri di una volontà schiava degli oggetti.

L'intuizione di Schopenhauer sta nel fatto di considerare l'uomo non solo come soggetto conoscente ma anche come essere dotato di un corpo. Tale corpo è sì un oggetto tra gli oggetti ma è anche la sede di un senso interno che ci mostra la nostra coincidenza con una forza, un impulso, che è la VOLONTA'. Ecco perché le cose accadono senza motivo (es. il vulcano che erutta).

La volontà è l'affermazione di me stesso, so che esiste perché la sento dentro di me, ha le stesse caratteristiche dell'infinito. La volontà esula da ogni forma di razionalità; è desiderio e impulso istintivo. La volontà è irrazionale non segue la legge morale dettata dalla ragione, ma desidera cibo e bevande corpo =  somma degli impulsi e dei desideri.

"Tutto il mondo è volontà": la mia essenza noumenica, nascosta da quella fenomenica è uguale a tutti gli uomini e quindi anche piante e oggetti sono simili sotto il velo dell'apparenza.

IRRAZIONALE, UNA, PRINCIPIO NEGATIVO CHE PERMEA LA REALTA, E' LA STESSA PER TUTTI. (si estrinseca in modi diversi, il vulcano erutta, le piante captano i raggi solari, gli animali cercano cibo).

CIECA: non guarda le conseguenze delle sue azioni, afferma sé stessa facendo quello che è e fregandosene degli altri (es. vulcano che erutta).

Chi ha troppa volontà di vita, è il suicida, egli ama troppo la vita.

Per non suicidarsi occorre desiderare poco le cose.

SARTRE:

A partir de cet auteur on trouve dans la littérature la 'nausée' du philosophe, la nausée justement prendra Roquetin, personnage du célèbre roman de Sartre qui oppose au douceatre monde de l'existence, la dureté de la conscience.

«La nausée» voit, en effet, comme personnage principal Antoine Roquetin, jeune garçon qui fait des recherches d'histoire et représente le double de l'auteur.

Un jour, assis sur un banc, il regarde un arbre aux racines qui creusent dans le terrain et de là, à l'improviste, il réalise que la vie n'a pas de sens.

Il ressent même un malaise corporel, il pense se suicider, mais le suicide aussi n'aurait pas de sens; on obtiendrait un cadavre inutile dans un monde inutile.

Sartre, par contre, a trouvé un sens à sa vie: relater ses livres.

Jean-Paul Sartre était philosophiquement inquiété par la régulière urgence corporelle de se nourrir.

Questionné par rapport à ses préférences alimentaires, l'auteur français avoue qu'elles étaient peu nombreuses. Rarement il mangeait des végétaux ou des fruits, à moins qu'ils ne soient mêlés avec un autre aliment, par exemple de la patisseries ou des gateaux.

Toute sorte de poissons le dégoûtait, pareil pour les tomates.

Les charcuteries, les choucroutes et les gateaux au chocolat étaient ses aliments préférés.

Par contre, en analysant Sartre, on peut s'émerveiller en découvrant la quantité de non-nourriture qu'il avalait chaque jour et avec laquelle il contaminait son corps: deux paquets de cigarettes particulièrement fortes, quelques bouchées de pipe, de nombreux verres de vin, de bière, d'alcool pur, de thé, de café qu'il alternait avec des amphétamines et des barbituriques.

Un jour, sa particulière haine envers la nourriture de mer, commençait à le tourmenter quand, en un moment d'inconscience causée par une drogue, il rêva d'être pourchassé par une langouste.

«L' Être et le Néant» (1943) a été écrit pour  décrire les principes essentiels de l'existentialisme.

1) L'existence: elle précède l'essence. L'homme existe et il se définit comme homme au cours de   son existence.

2) La liberté de choisir: l'homme a des alternatives, donc il est libre, libre de choisir. Si on doit choisir  on est responsable de ses actions. «Ne pas choisir c'est quand même un choix: celui de ne pas choisir».

3) L'action: elle est l'essentiel de l'être humain; au contraire, de toute la philosophie et de la religion            catholique. On est responsable de nos actions et on est jugé sur la base d'elles.

Il y a même de choix qui ont des conséquences sur la collectivité, par exemple décider de soutenir la guerre ou de s'y opposer.

4) Autrui: les autres limitent nos actions. En Huis Clos nous trouvons la citation: «l'enfer c'est les                    autres». Cette ouvre est la métaphore de la vie, elle présente le jugement des autres sur les actions de l'homme.

BIBLIOGRAFIA:

https://www.crohn.it/Joomla/index.php?option=com_content&task=view&id=13&Itemid=34

https://www.homolaicus.com/arte/van_gogh/campo_grano_corvi.htm

https://www.celiachiamo.com

https://143.225.163.184/_docenti/villani-francesco/doc/villani-21-microbiologia-di-prodotti-alimentari.pdf

www.istitutosangiusto.it/index_file/Page390.htm

https://www.aoecs.org

LIBRO DI TESTO: 'IMMAGINI DELLA BIOLOGIA' Zanichelli

LIBRO DI TESTO: 'CHIMICA' Atlas, Paolo Pistarà

VADEMECUM DELLA CELIACHIA

RIVISTA MENSILE DELL'AIC: 'CELIACHIA NOTIZIE'