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Les lettres persanes: écrit en 1721 rend célèbre l'auteur en lui conférant une renommé de bel esprit. Cette oeuvre a une couler orientale, les personnages principaux (au regard d'étranger est donné la critique de la societé) ces sont deux persan qui visitent la France en écrivant des lettres à nombreux amis pour leur faire part de leurs impressions. Mais cette couleur orientale sert sourtout à faire passer sous une apparence badine, des critiques très hardies contre la société du temps. Les Persans de Montesquieu sont censés observer d'un regard neuf, amusé et parfois stupéfait, les moeurs et les institutions occidentales et donc, mille usages auxquelle les Français sont depuis longtemps habitués apparissait soudain ridicules et absurdes. De fait il s'attaque par l'ironie aux manies, aux préjugés et au abus. Il raille la badauderie des Parisiens, les caprices de la mode, l'Académie française, la passion exagérée des admirateurs et déctracteurs d'Homère. A la manière de La Bruyère, il brosse une série de portraits mordants et spirituels. Mais sa critique va aussi beaucopu plus loin: il ne respecte ni le roi, ni le pape; il etonne un hymene à la raison humaine oppostée à théologie et à la mystique. Il ne se contente pas de saper ce qui existe en France, mais il propose des nuovelles conceptions: Montesquieu se demontre déjà sociologue lorsqu'il parle du diovorce, de la dépopulation, de l'esclavages, des colonies et il expose sa pensée politique en disant que la plupart de monarchie d'Europe sont dégénère en dispotisme ou en république parce que la puissance ne peut jamais être égalment partagée entre le peuple et le prince: l'équilibre est trop difficile à garder. Dans les Lettres Persanes, Montesquieu est donc à la fois bel esprit, moraliste et penseur.
Il y a une mefiance à l'égar du genre romanesque, parce que en realité il ecrit de conte philosophique dit aussi recit.
Candide: La question de la Providence occupe particulèrement Voltaire, il cherche à concilier l'existence du mal avec la bonté du Créateur. Voltaire a toujours été choqué par l'existence du mal et au debut de sa carrière il admet que les hommes sont heureux autant que la nature humaine le comporte, et dans un bref momnt il a chanté le parfait bonnheur de l'homme civilisé. Mais dans Candide et Zadig on trouve un évolution vers le pessimisme, l'auteur réfuse la Providence e la conceptione selon laquelle «Tout est bien». On peut dire qu'il s'élève contre des explications unilatérales du monde et donc «si tout n'est pas bien, tout est passable». Candide c'est une oeuvre qui reflét l'engagement philosophque (mais aussi la valeur artistique) de l'auteur. Aux spéculations sur l'origine et sur la signification du mal, il repond par une accumulation de faits, on a beaucoup de forme du mal: mal métaphysique, naufrages, tremblement de terre, violence des hommes. Dans sa Conclusion il propose une solution de mal pratique: la retraite du paysan turque et sourtout le travail, source de progrès matériels et moraux. En outre l'intention polémique y est plus sensible que dans Zadig. Mais par l'animation du récit, la diversité des narations Voltaire sait voiler sous la variété et le burlesque de la narration la monotonie de la thèse. Il nous présente des personnages avec un caracrère plus riche au point de vue psychologique. Enfin dans Candide on trouve toutes les nuances de l'ironie voltairienne, instrument incomparable pour déconcerter le lecteur vulgaire at communier à demi-mot, d'intelligence à intelligence, avec cette aristocratie de l'esprit dont Voltaire a tant recherché la sympatie.
Zadig (= celui qui dit la vérité): Cette oeuvre révèle les caprices du Destinée et pose le problème ed la Providence: on trouve dans ce pièce une satire contre des roi incostants, des courtisans avides et pervers, des prêtres fanatique. Zadig c'est un jeune Babilonien, qui a un confiance dans son destin malgré la mefiance des hommes. À cause de l'envie de puissant il devienne protagoniste de plusieur des mesaventures qui ont la function de representer la vie dans les aspects les plus incoerents. Les differents conte sont liés par des reflexion que Voltaire fait (relativisme des choses, recherce du bonnheur.). L'unité n'est pas donné par l'ensemble de propos, mais par leur signification: veut proposer un message philosophique. Il y a la presence d'un tecnique romanesque: Le bonneur semble se nier de tappa en tappa puis s'affirme. Mais à la fin l'heros revien au point de debut, ou connait le bonneur, parce que la vie de Zadig est mené par une provvidence superieur (le cas) que l'homme peut changer grace à son travail et à son intelligence.
Micromegas: On peut trouver un schéma narratif que on peut retrouver dans les contes suivantes. Le conte est composé de un suit de tableau. Il y a un seul protagoniste et aussi l'unité du recit. Ce personnage est doué de la même sensibilité que Voltaire; il a le tache d'exprimer le sensation de l'auteur, parce qui Voltaire lui donne le charge de dire sa pensée. L'oeuvre rappelle le Gulliver de Swift et le Gargantua de Rablais parce que la structure est construit au tour du voiage de l'experience de Micromegas; experience qui a caractesisé aussi la vie de Voltaire. Ce petit roman traite de manière plaisante le thème de la relativité universelle: vanité des spéculations métaphysique; et, même dans le domaine scientifique, idée que notre connaissance, loin d'èpuiser la réalité, reste toujours relative.Micromegas c'est un jeune homme qui habite un satellite de Sirius, et à cuse de son intelligence est obligé par les docts à quitter son univers. Il voiage par tous l'univers en faisant beaucoup de rencontre, aussi dans la Terre, au "North-Pole", où il rencontre des explorateur. La narration devienne donc un moment de formation du personnage.
L'ironie est une strument pour faire amener le lecteur à découvrir lui-même l'absurdité d'une opinion que l'auteur conteste. L'écrivain dit le contraire de ce qu'il pense pour se moquer de quelq'un ou de quelque chose. L'ironie se constui par l'antiphrase (on dit le contraire de ce qu'on pense), par la périphrase (on remplace un mot par une expression équivalente mais dévalorisant), par le rapprochement de mots qui appartiennent à des domaines tout à fait différents et par le faux rapport logique qui lie deux proprosition pas vraiment liéss. L'ironi sert pour attaquer des opinions, pour détabiliser le lecteur et pour le fair adhérir au propre opinion.
Pascal c'est l'auterur le plus serieux entre les auteur français. Il a été un savan, un teologien et un artiste et donc il a une personalité complexe. On le place dans le developpement religeuse du XVII siécle. Il reçoit une edication exempte d'ensegnement humniste. Il lie sa pensée à l'experience religeuse et intellecutelle de Port-Royal. En effet il y a beaucoup de religeuses qui veulent vivre d'une façon pur la vie crétienne. Giansenus écrit un traité sûr la grace dans laquelle il reprend la tese de Sant'Augustin: la grace atteinte enfaiblement le but que Dieu lui assigne, la grace est efficace. Le libre arbitre suivre la grace spontaneament. À la fin du XVI siècle on propose une nouvelle conception par le jésuites: la grace devienne suffisant, elle peut sauver l'homme mais il peut la accepter ou non. (Arnauld se pose derrier le janséniste et il sera condanné par le pape). Pascal est invité à entrer dans la question et il defend les thèses janseniste en conndannat la morale mondaine jésuite. Il écrit «Les Provinciales», qui connnaitra un très grnd succes grace a son stile claire, simple et passioné. «Les pensées» sont une oeuvre posthume, publie quand aprés sa mort. C'est une oeuvre écrit en beaucoup de morceau, ordonne aprés sa mort en suivant quelques indication de l'auteur. Le sujet principal c'est la grace, et Pascal reprend l'ortodossie chrétienne. Grace est indispensable pour se sauver, prend importance le coeur où se trouve les connaissances plus intimes, plus superieurs et indimostrable (sentiments.). Le coeur c'est le centre de l'homme, fait pour jouir de la presence de Dieu, mais il a fini pout jouir de sa potence: c'est pour ceci que Dieu c'est caché et donc l'homme vie dans l'angoise: le couer c'est alor plus important que la raison pour connaitre Dieu.
Écrivan de fable, il était un professeur de la libre pensée et il était condamné. Il jouit de la prodtection de la duchesse d'Orléan et il se presente comme un narrateur moralist, mais il est aussi un intellectuel: il entre dans la question des anciens et des modernes et il prend une position intermédiaire. Avec ses contemporaines il partage le culte des ancienne, mais il apprécie égalment les auteur contemporains (Rablais, Marot, les fablieus): il expose un principe fondamental de sa poétique, l'imitation libre. En outre il admire le fabuliste de l'antiquitè et sa oeuvre prend source dès les récits orientoux, chinois et indiens. Pour la poèsie c'est un siècle peuvre (les régles données par Malherbe etouffe la poèsie): le poète devienne un tecnisian du vers. La Fontaine utilise une ironie raffiné et son classicisme est tellement naturel qu'il rend tout règle superflue. L'attention au détail rends ses fables desiderable, en outre il enseigne une morale de bon sens fondée sur les valeurs de l'equilibre et de l'harmonie. En visant les animaux il vise la societé.
Gli animali malati di peste.
Le cieux donne la peste pour venger les péché. Le XVII siécle est une siécle de bûcher, des heretiques, des sorciers: on cherce de bouc emissaire pour expier le péché et trouver le salut comun. Le bouc emissaire c'est une figure de la letterature qui réflet l'hisotoire contemporaine.
Le rat qui s'est retiré du monde
La Fontaine critique l'institution de l'église de son temps. Il presente un faux devot tirée par le Tatuffe de Molière.
De la fin du XVI siécle naissent beaucop de roman, grand developpement qui portera le roman à être le genre plus riche. En dix ans naissent 60 roman, mais ce genre ne connait pas le faveur du predicateur. D'abord on publie 5 roman l'an, puis la prodution s'eleve jusq'au 15 roman l'an. Le roman français sra influencé par celui italien et espagnol. C'est une genre très voisine à l'epopée, mais il est caractrisé par un longueur extraordinaire. On a beaucoup d'action qui font des petits romans dans le roman principaux: pas action prnipal.
On cherche de respecter les regles, mais il ecappe à chette regles: on utilise beaucoup la tecnique de recit retrospectives: le teoricienne ne s'enteressent pas de cette genre. Les themes principaux sont la guerre et l'amour, il y a une esforce de vraisemblance (l'epopée no), on utilise une language recherchée et raffinée, mais la production c'est quantitaitvement important pas qualitativement. Les personnages nobles sont carcterisé par sentiments elevé, il vivent des adventures exrtaordinaire: peronnages hors du commun. Trois genre: sentimental, heroique et comique (Il y a une grean casuistique de l'amuor dans tous le troi).
Sentimental: Comme «L'Astrée» d'Urfé roman qui parle de l'amour entre un berger et une bergère, influence par la pastoral. Model pour le gengre Sentimental, il presente de personnage du passé. Hëroique: Personnages contempoiranines, definis à cleves. Les modeles de ce genre seront les romans de Madeline de Scudéry («Le grand Cyrus», «Clélie»). Elle propose la charte du "tendre", il y a un très grand casistique de l'amour.
Comique: (Vedi Sorel e Scarron).
Il écrit la «Vrai histoire comique de Francion» e «Le berger extravagant». Il connaitra un très grand succes, parce que ses romans sors de la tradition. Reomans ispirés par la tradition picaresque espagnol, dans laquello on sostitue les hëros avecle vagabond fameux (les picares). En outre il reprend le «Satyricon» de Petronio, «L'asino d'oro» d'Apuleio, Le «Don Chiscotte» et la tradition comique du moyen age. «Le berger extravagant» parle d'un personnage qui se prend des hëros de L'Astrée, il se transforme en berger et il les imite. Il devra publier differnt edition de son roman parce que aprés le 1630 le ton ne peut plus être libre par la pris de puissance de la monarchie et parce que quelques libertins finit en prioson. Le «Francion» c'est une texte qui parle de Francion un gentilhomme qui fait beaucop d'adventure et de rencontre (rencontre de route). Frencion a une pensée original, on n'arrive a comprendre s'il croit en Dieu o non. En effet il critique l'église, le pouvoir, les institution religeuse et politique. Sorel ne travail pas sur la langue, il fait parler chaque personnage aveca son propre language.
Il écrit le roman comique (1651-1657), il presente une epopeé comique d'un troup d'acteur ambulant qui arrive dans la ville de Mans: parodie du genre riche on passe dés personnages nobles au personnages de basse extration social (element de la tradition picaresque). Il y a une large usage de l'humur: les bourgeois que Scarron nous presente, ce sont pas elevés, l'amour est plus charnel.. On presente de situation de la vie quotidienne, le lutte de peuvre c'est un element realistique mais le roman n'est pas realistique: on porte à l'outrance le situation populaire et il traite ses personnages d'un façon caricatural pour faire rire. Il y a beaucop d'intervent de l'auteur (clain-d'oeil) qui se partage en auteur et narrateur.
Oeuvre pas comique mais très serieux et de la preciosité (pour le nouvelles qui viennent greffer sur l'intrigue central en attirant l'attention sur les désordres de l'amour; la psychologie des personnages porte l'auteur è se poser des problemés subtils pareils à ceux que l'on examinait dans le salon: la princesse doit ou non avouer à son mari sa passion?.; Les situations sont parfois compliqeuè ou peu vraisemblanbles; enfin le language pourtant sobre jusqu'à la pauvreté). En outre l'oeuvre se presente aussi comme une oeuvre classique (mais pas plainement), par la retenue de sentiment violent. Les passions sont tamusées (filtrate) pasr une language elevée et raffinée; on utyilise la litote; les expressions sont très castigué, pas d'aveu explicite (comme dans Racine): Madame de La Fayette met en évidences les ravagages de la passion. Madame de Clèves veut respecter son devoir et, contemporainement, elle éprouve une peur de l'amour. Les peronnages presentés par Madame de La Fayette, ce sont des personnages elevés, nobles qui éprouvent des sentiments elevés, qui porteront à la mort. Sera influencée par Corneille chez l'héroïne par le sens de sa «gloire», par le rôle de la volonté stoïque et de la raison lucide. Il y a la presence d'un unité languestique, d'un style uniforme.
L'auteur a cpmcilier dans cette oeuvre la subtilité romanesque de l'esprit précieux et la vérité sobre et eternelle du classcisme.
L'Étranger: Roman centré sur l'absurdité de l'existence et qui le rélève au public. Le protagoniste, Meursault, raconte sa vie. Indifferent à la morte de sa mère et aux événements de sa vie, il devient, melgré lui, le meurtieur d'un Arabe (pour adfirmer l'absurdité de la vie; Lafcadio tue pour adfirmer sa propre liberté). Au tribunal, il reste indifférent et ce n'est qu'après sa condamnation à mort qu'il crie, à un aumonier qui vient le voi, le non-sens de tout. Le protagoniste est étranger parce-qu'il n'adere pas aux convenction socials. Dans L'étranger il y a la morale de l'absurdité: c'est la pris de coscience du non-sens de la vie mais l'homme est constrict à vivre, et doit payer les consequences des ses errores. Camus découvre l'étrangeté de la nature et l'hostilité du monde, auquel on se sent tout à coup étranger. Mais c'est seul la certitude de la mort qui nous révèle l'absurdité. Mais ce n'est pas le monde qui est absurde mais la confrontation de con caractère irrationel et de ce désir éperdu de clarté don l'appel résonne au au plus profond de l'homme. Il y a l'opposition entre l'irrationalité du monde e le besoin de clarté de l'homme. L'aburde n'est ni dans l'homme ni dans le monde mais dans leur présence commune: il nait de leur antinomie.
La Peste: dans ce roman, Camus imagine une épidémie de peste à Oran, symbole du nazisme, qui monte aux hommes à quel point leur condition est fragile. La mort devient l'affaire de tous et seul la solidarieté permet de retrouver le salut. Dans La Peste il ya l'humanisme de la révolte: c'est la nature humaine qui à l'action ses valeurs et ses limites. Avec la révolte l'homme peut s'adfirmer: je me révolte donc je suis. Le révolte confére à la vie son prix et sa grandeur. En autre il y a us sens de solidarieté, on doit, aussi, prendre coscience de l'oppression des autres hommes. Le resultat est l'humaniseme et la solidarieté.
Le style de Camus est classique: harmonieux, rigureux, importance donné aux mots qui sont simples et parfois élémentaires. Son style est neutre, impersnel, mais il sait traduire les sensations dans leur pleine saveur
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